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Une Etrange Coalition
de journalistes, d'universitaires et de théologiens
Réécrit l'Histoire

Par Jean-Marc Thobois

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Les dirigeants des pays occidentaux sont particulièrement sensibles à la puissante coalition des médias, des pays arabes et des universitaires gagnés à la cause arabe. L’Occident ignore que les arabes considèrent qu’ils ont le droit de mentir, aussi est-il prêt à accepter tout ce que la propagande arabe élabore.

Il y a quelques temps, Haman Ashrawi, négociatrice palestinienne, déclara : "Je suis une chrétienne palestinienne, je sais ce que c’est que le christianisme, je suis une descendante des premiers chrétiens. Jésus est né ici dans mon pays à Bethléhem, ville palestinienne." Personne ne s’offusqua de ses propos et nul ne rétorqua qu’Haman Ashrawi était Arabe, que les Arabes ne sont arrivés dans le pays qu’en 737 après Jésus-Christ, qu’elle ne peut donc être descendante des premiers chrétiens. Il suffit, en outre, d’un seul regard sur Matthieu 2:1 pour dire ceci : "Jésus étant né à Bethléhem en Judée," et non en "Palestine" qui n’existait pas à cette époque. Le pays de Jésus était la Judée ou encore le pays d’Israël. Ce n’est qu’en 135 après Jésus-Christ que les Romains, dans le but de déjudaïser le pays après l’échec de la révolte de Bar Kochba, nommèrent ce pays "Syria Palestina" du nom des Philistins, bien que ces derniers aient disparu depuis des siècles. Ainsi les Romains furent les premiers à réécrire l’histoire. Les Palestiniens modernes ont médité sur cet exemple. Durant le mandat anglais, les Arabes du pays se considéraient comme Arabes et refusaient le terme "Palestiniens." Les seuls qui acceptaient ce titre étaient alors les Juifs. Quand, en 1948, l’Etat d’Israël fut proclamé, les Arabes de la rive occidentale devinrent Jordaniens. Ce n’est qu’en 1964 qu’ils comprirent le parti qu’ils pouvaient tirer du terme "Palestine." Les chrétiens, en effet, continuaient à désigner la terre sainte sous ce vocable.

Dès lors, naquit le mythe d’un peuple palestinien créé de toutes pièces pour accréditer l’idée qu’Israël, minorité au sein de l’océan arabe était en fait l’oppresseur d’une minorité "privée de ses droits nationaux" notamment ceux à l’autodétermination. Relayé par l’argent du pétrole et l’antisémitisme des nations, le mythe connut la fortune que l’on sait. Quand à Noël dernier, Arafat déclara à Bethléhem : "Jésus, le Messie palestinien," alors que la foule brandissait une représentation de Jésus coiffé d’un keffieh, nul ne s’en émut. Les chrétiens se sont en effet habitués à désigner la terre de la Bible sous le nom de "Palestine" et, ignorant l’histoire et la Bible, ils imaginent que le pays a porté ce nom depuis les temps immémoriaux et notamment qu’il portait déjà ce nom à l’époque de Jésus. Ainsi, quand, quelque temps plus tard, une chaîne de télévision française effectua un reportage sur la "Palestine," on put voir un Palestinien affirmer que les Arabes habitaient la "Palestine" à l’époque de Jésus et avaient même une langue nationale dérivée de l’araméen, "l’Edomite du Sud." Le journaliste enregistra sans sourciller. Ainsi se crée par petites touches un véritable peuple mythique, doté d’une histoire mythique et d’une culture mythique que l’ignorance, la lâcheté, ou la complicité de l’Occident sont en train d’avaliser. Arafat se plaît aussi à répéter : "Jésus était un fedayin qui menait la révolte palestinienne contre Rome, qui a été crucifié par les Juifs et qui a crié Allah, quand il était sur la croix et non Eli, Eli."

 

Le mythe du "peuple palestinien"

Arafat reprend ainsi à son compte l’idée de certains européens qui ont tenté de faire de Jésus une sorte de zélote en lutte pour la justice sociale, tout en appuyant sur le fait que le meurtre de Jésus est dû aux Juifs. Arafat fabule aussi sur ses propres origines. Il n’est pas né à Jérusalem, mais au Caire et il est apparenté à la famille du grand Mufti de Jérusalem, ami d’Hitler, Hadj Amin al-Husseini. Arafat est un pseudonyme. La charte de l’O.L.P. nie qu’Israël soit un peuple, ainsi que toute l’histoire des Juifs sur leur terre. Par contre, la charte palestinienne affirme que les liens historiques avec cette terre sont le fait du peuple palestinien. Or l’histoire authentique révèle que, durant le mandat anglais, la population arabe du pays a augmenté de 400% dont 300 000 immigrants illégaux arabes. En fait, le mythe de la Palestine est une collusion entre l’islam et l’antisémitisme qui cherche à délégitimer Israël. Cette falsification de l’histoire est voulue et délibérée. Qu’Israël ne soit pas exempt de reproches, c’est évident, mais la technique de cette propagande consiste à pointer le doigt sur la paille qui est dans l’œil d’Israël pour détourner l’attention de la poutre qui est dans celui des Arabes. Comme si un historien ne retenait de la deuxième guerre mondiale que les souffrances qu’a endurées le peuple allemand, causées par les bombardements alliés. Ce seraient, certes, des faits, mais cela n’en serait pas moins une distorsion de l’histoire.

 

L’histoire d’Israël selon la Bible

C’est à Abraham qu’a été promise la terre de Canaan, ainsi qu’à sa descendance comme une possession éternelle (Genèse 15, 22). Cette possession devait se faire par Isaac et non par Ismaël, père des Arabes. La première falsification de l’histoire est le fait du Coran, qui fait d’Ismaël le fils de la promesse et celui qu’Abraham reçut l’ordre de sacrifier. Les 70 descendants de Jacob descendirent en Egypte où ils devinrent un peuple que Moïse ramena dans le pays promis entre le XIVe et le XIIIe siècles avant Jésus-Christ, après un séjour de 40 ans au désert. La Thora donnée au Sinaï est destinée à être vécue dans le pays de Canaan. Elle aussi est un titre de propriété sur le pays de Canaan et en définit les frontières. A cette époque, le pays était peuplé de petits états cananéens. Ces groupes cananéens étaient un mélange de différentes populations non sémites, surtout caractérisées à cette époque par leur dépravation morale. Pour cette raison, l’arrivée d’Israël était comme un jugement de Dieu sur ces populations qui devaient être chassées, ce que fit Josué. Plus tard, le peuple juif se dota d’institutions monarchiques. Vers l’an 1000 avant Jésus-Christ, David s’empara de la dernière enclave cananéenne, Jébus, qui devint Jérusalem, capitale du royaume de David, de Salomon, puis du royaume du sud. Elle le demeura, après le schisme qui suivit la mort de Salomon, jusqu’à sa destruction par les Babyloniens en 588 avant Jésus-Christ. En 535, le roi perse Cyrus qui avait succédé aux rois babyloniens, autorisa le retour des Juifs et la restauration du temple. Ce fut le deuxième royaume juif. En 165 avant Jésus-Christ, une tentative de profanation du temple par les Grecs échoua grâce à la résistance héroïque des Maccabées.

En 63, la Judée ainsi nommée depuis l’époque perse qui en avait fait la province de Yahoud, c’est-à-dire le pays des Juifs, comme en témoignent de nombreuses pièces de monnaies trouvées de cette époque, fut conquise par les Romains qui l’administrèrent jusqu’à la destruction du deuxième temple en 70 après Jésus-Christ. En 135, une deuxième révolte juive fut matée et la Judée devint la Syria Palestina, mentionnée plus haut. Quant à Jérusalem, elle fut interdite aux Juifs et nommée Aelia Capitolina.

En 637, la " Palestine " fut conquise par des Arabes et devint partie de l’empire musulman comme province de deuxième ordre. Mise à part la construction des mosquées sur l’esplanade du temple, la Palestine fut pratiquement délaissée et s’appauvrit petit-à-petit. Pourtant, pendant toute cette période interrompue par le bref épisode des croisades où la Palestine redevint chrétienne, les liens entre le peuple juif et sa terre ne furent jamais rompus. En effet, dans les prières et le culte, le pays d’Israël, Eretz Israël, était omniprésent ; mais aussi un flot ininterrompu de Juifs le visitait ou s’y rendait pour y vivre et surtout y mourir. D’autres y vécurent sans interruption depuis la destruction du temple jusqu’à nos jours, notamment dans le village de Pékiin. En 1517, Eretz Israël passa sous la coupe des Turcs ottomans, occupation qui dura exactement 400 ans, autant que le séjour des Israélites en Egypte. Au XIXe siècle, le pays fut redécouvert par l’Occident, de nombreux voyageurs en firent une description saisissante. Tous les témoignages concordaient absolument pour décrire la désolation du pays réduit à l’état de désert par des siècles d’incurie. On notait le petit nombre d’habitants, mais aussi le fait qu’à cette époque, Jérusalem était une ville en majorité juive. Eretz Israël commença à reprendre vie avec l’arrivée des pionniers Juifs, attirant ainsi, par sa prospérité retrouvée, les Arabes venus des pays voisins. Ce fut surtout le cas entre les deux guerres mondiales sous le mandat britannique.

 

La "Palestine" était-elle un "pays fertile" ?

Ces faits historiquement indiscutables s’opposent aux affirmations de la propagande arabe, selon lesquelles l’arrivée des Juifs déplaça des millions d’Arabes qui y vivaient depuis des milliers d’années dans un pays fertile. C’est ainsi qu’on changea l’agresseur en victime. Les guerres du Moyen-Orient furent toutes attribuées à Israël, on oubliait simplement de dire qu’Israël fut agressé et que des centaines de milliers de Juifs furent chassés des pays arabes. C’était là la technique de Goebbels selon laquelle un mensonge, mille et mille fois répété, finit par devenir une vérité. Pour Arafat, " ces paisibles Arabes vivant en Palestine depuis des siècles, étaient les descendants des Cananéens et des Philistins. " En effet, le peuple palestinien n’a ni histoire propre, ni culture, ni langue, car il n’est constitué que d’Arabes. Qu’à cela ne tienne, nombre de gens s’emploient à leur en fabriquer de toutes pièces. On oublie qu’avant 1943 un Arabe, Moussa Alaoui, a affirmé que les Arabes avaient besoin d’un mythe qui créerait leur identité et leur redonnerait leur fierté. On a créé ce mythe. Il fallut 20 ans pour arriver à ce but.

Selon d’autres penseurs arabes, c’était une manière de mener la guerre sainte, le Djihad. Dès lors qu’on rattache les Palestiniens aux Cananéens ou aux Philistins, il est facile de présenter Israël comme un peuple d’usurpateurs dès les temps anciens et cela jusqu’à nos jours, et les Palestiniens comme des éternels victimes. Or, les Philistins étaient des non sémites venus d’Europe, par les îles de la mer Egée au XIIe siècle avant Jésus-Christ, c’est-à-dire peu après les Israélites.

Arafat, qui se prétend (faussement) né à Jérusalem, déclare ainsi qu’il est un descendant des Jébusiens qui ont toujours vécu à Jérusalem et que ses racines à Jérusalem remontent à des millénaires, donc que ses droits sur Jérusalem sont plus anciens que ceux des Juifs. Or, dans le même souffle, Arafat déclare descendre des peuples Arabes. Les Arabes sont des sémites, tandis que les Jébusiens ne l’étaient pas. Comment peut-on à la fois être une chose et son contraire ? Ainsi Arafat a déclaré : "Des peuples arabes sont engagés dans la culture des peuples voisins." Dix-neuf ans d’occupation jordanienne, au cours de laquelle cinquante-huit synagogues ont été détruites à Jérusalem, montrent comment les arabes se sont engagés dans la culture des peuples voisins. En 538, quand les Arabes sont arrivés en Israël, ils étaient peu nombreux. La plupart d’entre eux furent rapidement décimés par des épidémies. Il fallut faire venir d’autres musulmans pour les remplacer, lesquels connurent le même sort. Au long des siècles vinrent s’établir dans le pays des Grecs, des Kurdes, des Syriens, des Latins, des Egyptiens, des Arméniens, des Russes, des Afghans, des Libanais, des Bosniaques, des Soudanais, des Tartares et même des Hongrois. En fait, une cinquantaine d’ethnies différentes sont à l’origine des "Palestiniens." Dès lors, on réalise ce que valait l’affirmation d’Arafat selon laquelle ces Palestiniens ont habité le pays depuis des siècles.

 

Une histoire fabriquée de toutes pièces

Des expressions reprises dans la presse mondiale ont aussi pour but de délégitimer la Bible, ainsi les expressions "rive occidentale" ou "territoire," remplacent l’expression biblique "Judée-Samarie." Selon Haman Ashrawi, la Judée-Samarie n’existe pas. Or, la Bible cite quarante-cinq fois la Judée et douze fois la Samarie. Le livre des actes déclare : "Vous serez mes témoins à Jérusalem, en Judée, en Samarie." Mathieu 2:20-21 déclare que Jésus revint d’Egypte dans le pays d’Israël et non en Palestine. En fait, c’est le Roi Abdallah de Transjordanie, grand père de l’actuel roi Hussein, qui changea le nom de Judée-Samarie en rive occidentale. Selon Haman Ashrawi, il y a une présence arabe ininterrompue de 3500 ans. Pour elle aussi, Jésus était un Palestinien qui a défié Rome et elle vilipende les Juifs qui ont tué Jésus, "le prophète palestinien." Un théologien arabe chrétien, le Docteur G. Coury a écrit dans un ouvrage intitulé L’Intifada du ciel et de la terre que l’intifada était une chose glorieuse. Or il faut savoir que l’ONU a accordé le statut de réfugié à tout Arabe qui avait résidé en Israël deux ans avant 1948. Pourquoi ? Tout simplement parce que la plupart des Palestiniens sont arrivés dans le pays dans les dernières années du mandat britannique. Malgré tout, Arafat, en 1974, dans son célèbre discours à l’ONU, a déclaré : "L’invasion Juive a commencé en 1881. La Palestine était un pays fertile, verdoyant, habité surtout par le peuple arabe en train de construire sa vie et enrichissant de façon dynamique la culture indigène." N’importe quel lecteur peut se procurer dans n’importe quelle librairie L’itinéraire de Paris à Jérusalem de Chateaubriand, La Jérusalem de Pierre Loti, Le voyage en Orient de Lamartine, pour ne citer que ceux-là, et voir comment, à cette époque, la Palestine était un pays verdoyant et comment la population arabe contribuait à la vie et à l’enrichissement des populations indigènes ! En 1889, un autre visiteur écrivait : "Trente mille des quarante mille habitants de Jérusalem sont Juifs et sur les 10 000 restants, bon nombre sont des chrétiens. Sur la plaine côtière il n’y a que quatre vingt douze mille habitants dont trente huit mille sont des chrétiens." En fait, sauf durant un siècle, jamais les Arabes n’ont été la majorité dans le pays. Quand l’arrivée des colons juifs a produit la culture la plus avancée que le désert ait connue depuis l’époque romaine, après des siècles de négligence et de désolation, ce développement a attiré de milliers d’Arabes.

 

Les racines juives en Israël

Pour certains Arabes chrétiens : "Des chrétiens qui croient que les Juifs ont un droit biblique et historique sur la terre d’Israël sont des infidèles, des incroyants, des hérétiques, qui renient le Christ." De son coté Faiçal Husseini (qui prétend descendre de Saladin bien que ce dernier ait été Kurde et non Arabe) a créé "The Palestine academic society for the studies of international affairs." Il distribue aux journalistes et aux politiciens un document où l’on peut lire, sous la rubrique "Le pays, son peuple et son histoire," ceci : "Au milieu du IIIe millénaire, 3000 ans après une vague de sécheresse et de dessiccation qui a formé la péninsule arabique, les Cananéens, tribu sémite, sont venus s’établir depuis l’Arabie dans les territoires situés à l’Est de la Méditerranée qui sont la Syrie, le Liban, la Jordanie et la Palestine moderne." Or les Cananéens, selon la Bible, ne sont pas des sémites, mais des descendants de Cham, et nulle part il n’y a trace d’une migration de tribus venues de la péninsule arabique vers l’Est de la Méditerranée. Puis il ajoute : "Vers 4000 avant Jésus-Christ, les Jébusiens, sous-groupe cananéen, fondèrent Jérusalem." Les Jébusiens sont donc venus 1000 ans avant les Cananéens. On le voit, Faiçal Husseini n’est pas à une contradiction près ! Voyons la suite, il continue : "Vers 1900 avant Jésus-Christ, Ibrahim (Abraham) s’établit quelque part dans la vallée du Jourdain." Ce qui est contraire à la Bible car, à l’inverse de Lot, Abraham s’établit dans les montagnes et non dans la vallée du Jourdain. "Vers le XIVe siècle, les douze fils de Jacob, Israël, s’enfuirent d’Egypte où ils se sont établis pendant 500 ans." En fait, la manière dont Faiçal Husseini explique le départ d’Israël sous Moïse laisse entendre que ce départ a eu lieu 60 ans après leur arrivée dans le pays dans lequel ils sont censés, un peu plus haut, être restés 500 ans. Plus loin, on lit : "Vers 330 avant Jésus-Christ, le rapport entre Juifs et Jérusalem et le temple fut définitivement coupé. Puis la Palestine devint une partie de l’empire byzantin et de la culture hellénistique mais même ainsi la vie arabe n’a jamais été dissociée du pays ni de Jérusalem. Au VIIe siècle après Jésus-Christ, la Palestine et le reste de la Syrie sortirent de la domination romaine et entra dans la sphère de l’empire arabo-islamique." Faiçal Husseini se garde bien d’évoquer les massacres des Juifs et des chrétiens lors de la conquête arabe.

 

Des universitaires mentent délibérément !

De nombreux auteurs ont avalisé ces différents mensonges. Des centaines de dictionnaires, encyclopédies, livres d’histoire sont falsifiés. Par exemple la Random House Encyclopedia qui écrit : "Le pays s’appelait autrefois Canaan, puis Israël, puis Palestine." Nombreux sont les textes qui évoquent le fait que lors de la Guerre des Six Jours, Israël s’empara "de terres arabes" sans aucunement mentionner les provocations et menaces dont Israël fut l’objet de la part de ses voisins arabes. Or, on sait que ces articles ont souvent été rédigés par des Arabes. La Nouvelle Encyclopédie britannique écrit ainsi sans sourciller : "Les Palestiniens sont les descendants des peuples de Canaan," et 3000 ans d’histoire juive sont ainsi passés sous silence. D’autres font partir l’histoire du pays avec la conquête arabe au VIIe siècle après Jésus-Christ. C’est plus simple et cela évite des mensonges trop gênants. D’autres ouvrages mentionnent que les guerres israélo-arabes ont eu pour résultat la perte de l’Etat de Palestine. Or il n’y a jamais eu d’Etat de Palestine. L’American Heritage Dictionnary déclare : "Une ville de Jordanie occupée par Israël à 4 km au sud de Jérusalem est le village palestinien des temps bibliques où a vécu David et où est né Jésus, il se nomme Bethléhem." Le nom Jordanie n’a été utilisé qu’après 1948 par le grand-père de Hussein, Abdallah, qui a annexé la Judée-Samarie à l’émirat de Transjordanie créé de toutes pièces par les Anglais en 1922.

En Juin 1992, le National Geographic, prestigieuse revue américaine, publiait un article intitulé "Qui sont les Palestiniens ?" Elle répondait à cette question en déclarant que ces derniers descendaient des Cananéens et que les Juifs n’étaient qu’une vague d’envahisseurs qui les avaient chassés. De nombreuses protestations suivirent la publication de cet article. Les protestataires furent renvoyés à un certain Philips Maltard qui appartenait en fait au journal "Palestine Studies," dirigé par Isham Charadaq, ami et conseiller d’Arafat. Les bibles chrétiennes elles-mêmes n’échappent pas à cette démagogie anti-israélienne. Ainsi le New King James publié par Thomas Nelson l’est par une maison d’édition dont les propriétaires sont arabes et c’est ainsi que l’on apprend, entre autre, que l’épouse du Cantique des Cantiques n’est autre "qu’une jeune femme palestinienne." Ce genre de publications est encouragé par l’ONU qui est un des plus grands centres d’antisémitisme du monde. Dernièrement, Butros Ghali, Secrétaire Général de l’ONU, déclarait : "Les Juifs doivent renoncer au statut de nation et à un état et s’assimiler dans la communauté du monde arabe, sinon l’alternative sera une répétition de guerres." Quand, en 1974, Arafat, devant l’ONU, revendiqua la souveraineté sur toute la Palestine, personne n’a objecté. Ainsi la boucle est bouclée, c’est à nouveau la Bible qui est au banc des accusés. On la réécrit, on en réécrit l’histoire ou bien il faut l’anathématiser. Il est donc essentiel de se lever pour défendre la vérité biblique car celle-ci est un tout. Accepter que l’histoire biblique soit contestée et réécrite, c’est accepter la destruction de l’autorité biblique elle-même. Il est temps de se lever et de tenir ferme pour la vérité.

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