Les dirigeants des pays
occidentaux sont particulièrement sensibles à la puissante
coalition des médias, des pays arabes et des universitaires gagnés
à la cause arabe. L’Occident ignore que les arabes considèrent
qu’ils ont le droit de mentir, aussi est-il prêt à accepter
tout ce que la propagande arabe élabore.
Il y a quelques temps,
Haman Ashrawi, négociatrice palestinienne, déclara :
"Je suis une chrétienne palestinienne, je sais ce que c’est
que le christianisme, je suis une descendante des premiers chrétiens.
Jésus est né ici dans mon pays à Bethléhem,
ville palestinienne." Personne ne s’offusqua de ses propos et nul
ne rétorqua qu’Haman Ashrawi était Arabe, que les Arabes
ne sont arrivés dans le pays qu’en 737 après Jésus-Christ,
qu’elle ne peut donc être descendante des premiers chrétiens.
Il suffit, en outre, d’un seul regard sur Matthieu 2:1 pour dire ceci :
"Jésus étant né à Bethléhem en
Judée," et non en "Palestine" qui n’existait pas à
cette époque. Le pays de Jésus était la Judée
ou encore le pays d’Israël. Ce n’est qu’en 135 après Jésus-Christ
que les Romains, dans le but de déjudaïser le pays après
l’échec de la révolte de Bar Kochba, nommèrent
ce pays "Syria Palestina" du nom des Philistins, bien que ces derniers
aient disparu depuis des siècles. Ainsi les Romains furent les
premiers à réécrire l’histoire. Les Palestiniens
modernes ont médité sur cet exemple. Durant le mandat
anglais, les Arabes du pays se considéraient comme Arabes et
refusaient le terme "Palestiniens." Les seuls qui acceptaient ce titre
étaient alors les Juifs. Quand, en 1948, l’Etat d’Israël
fut proclamé, les Arabes de la rive occidentale devinrent Jordaniens.
Ce n’est qu’en 1964 qu’ils comprirent le parti qu’ils pouvaient tirer
du terme "Palestine." Les chrétiens, en effet, continuaient à
désigner la terre sainte sous ce vocable.
Dès lors, naquit
le mythe d’un peuple palestinien créé de toutes pièces
pour accréditer l’idée qu’Israël, minorité
au sein de l’océan arabe était en fait l’oppresseur d’une
minorité "privée de ses droits nationaux" notamment ceux
à l’autodétermination. Relayé par l’argent du pétrole
et l’antisémitisme des nations, le mythe connut la fortune que
l’on sait. Quand à Noël dernier, Arafat déclara à
Bethléhem : "Jésus, le Messie palestinien," alors
que la foule brandissait une représentation de Jésus coiffé
d’un keffieh, nul ne s’en émut. Les chrétiens se sont
en effet habitués à désigner la terre de la Bible
sous le nom de "Palestine" et, ignorant l’histoire et la Bible, ils
imaginent que le pays a porté ce nom depuis les temps immémoriaux
et notamment qu’il portait déjà ce nom à l’époque
de Jésus. Ainsi, quand, quelque temps plus tard, une chaîne
de télévision française effectua un reportage sur
la "Palestine," on put voir un Palestinien affirmer que les Arabes habitaient
la "Palestine" à l’époque de Jésus et avaient même
une langue nationale dérivée de l’araméen, "l’Edomite
du Sud." Le journaliste enregistra sans sourciller. Ainsi se crée
par petites touches un véritable peuple mythique, doté
d’une histoire mythique et d’une culture mythique que l’ignorance, la
lâcheté, ou la complicité de l’Occident sont en
train d’avaliser. Arafat se plaît aussi à répéter :
"Jésus était un fedayin qui menait la révolte
palestinienne contre Rome, qui a été crucifié par
les Juifs et qui a crié Allah, quand il était sur la croix
et non Eli, Eli."
Le mythe du "peuple palestinien"
Arafat reprend ainsi à
son compte l’idée de certains européens qui ont tenté
de faire de Jésus une sorte de zélote en lutte pour la
justice sociale, tout en appuyant sur le fait que le meurtre de Jésus
est dû aux Juifs. Arafat fabule aussi sur ses propres origines.
Il n’est pas né à Jérusalem, mais au Caire et il
est apparenté à la famille du grand Mufti de Jérusalem,
ami d’Hitler, Hadj Amin al-Husseini. Arafat est un pseudonyme. La charte
de l’O.L.P. nie qu’Israël soit un peuple, ainsi que toute l’histoire
des Juifs sur leur terre. Par contre, la charte palestinienne affirme
que les liens historiques avec cette terre sont le fait du peuple palestinien.
Or l’histoire authentique révèle que, durant le mandat
anglais, la population arabe du pays a augmenté de 400% dont
300 000 immigrants illégaux arabes. En fait, le mythe de la Palestine
est une collusion entre l’islam et l’antisémitisme qui cherche
à délégitimer Israël. Cette falsification
de l’histoire est voulue et délibérée. Qu’Israël
ne soit pas exempt de reproches, c’est évident, mais la technique
de cette propagande consiste à pointer le doigt sur la paille
qui est dans l’œil d’Israël pour détourner l’attention de
la poutre qui est dans celui des Arabes. Comme si un historien ne retenait
de la deuxième guerre mondiale que les souffrances qu’a endurées
le peuple allemand, causées par les bombardements alliés.
Ce seraient, certes, des faits, mais cela n’en serait pas moins une
distorsion de l’histoire.
L’histoire d’Israël selon
la Bible
C’est à Abraham
qu’a été promise la terre de Canaan, ainsi qu’à
sa descendance comme une possession éternelle (Genèse
15, 22). Cette possession devait se faire par Isaac et non par Ismaël,
père des Arabes. La première falsification de l’histoire
est le fait du Coran, qui fait d’Ismaël le fils de la promesse
et celui qu’Abraham reçut l’ordre de sacrifier. Les 70 descendants
de Jacob descendirent en Egypte où ils devinrent un peuple que
Moïse ramena dans le pays promis entre le XIVe et le
XIIIe siècles avant Jésus-Christ, après
un séjour de 40 ans au désert. La Thora donnée
au Sinaï est destinée à être vécue dans
le pays de Canaan. Elle aussi est un titre de propriété
sur le pays de Canaan et en définit les frontières. A
cette époque, le pays était peuplé de petits états
cananéens. Ces groupes cananéens étaient un mélange
de différentes populations non sémites, surtout caractérisées
à cette époque par leur dépravation morale. Pour
cette raison, l’arrivée d’Israël était comme un jugement
de Dieu sur ces populations qui devaient être chassées,
ce que fit Josué. Plus tard, le peuple juif se dota d’institutions
monarchiques. Vers l’an 1000 avant Jésus-Christ, David s’empara
de la dernière enclave cananéenne, Jébus, qui devint
Jérusalem, capitale du royaume de David, de Salomon, puis du
royaume du sud. Elle le demeura, après le schisme qui suivit
la mort de Salomon, jusqu’à sa destruction par les Babyloniens
en 588 avant Jésus-Christ. En 535, le roi perse Cyrus qui avait
succédé aux rois babyloniens, autorisa le retour des Juifs
et la restauration du temple. Ce fut le deuxième royaume juif.
En 165 avant Jésus-Christ, une tentative de profanation du temple
par les Grecs échoua grâce à la résistance
héroïque des Maccabées.
En 63, la Judée
ainsi nommée depuis l’époque perse qui en avait fait la
province de Yahoud, c’est-à-dire le pays des Juifs, comme en
témoignent de nombreuses pièces de monnaies trouvées
de cette époque, fut conquise par les Romains qui l’administrèrent
jusqu’à la destruction du deuxième temple en 70 après
Jésus-Christ. En 135, une deuxième révolte juive
fut matée et la Judée devint la Syria Palestina, mentionnée
plus haut. Quant à Jérusalem, elle fut interdite aux Juifs
et nommée Aelia Capitolina.
En 637, la " Palestine "
fut conquise par des Arabes et devint partie de l’empire musulman comme
province de deuxième ordre. Mise à part la construction
des mosquées sur l’esplanade du temple, la Palestine fut pratiquement
délaissée et s’appauvrit petit-à-petit. Pourtant,
pendant toute cette période interrompue par le bref épisode
des croisades où la Palestine redevint chrétienne, les
liens entre le peuple juif et sa terre ne furent jamais rompus. En effet,
dans les prières et le culte, le pays d’Israël, Eretz Israël,
était omniprésent ; mais aussi un flot ininterrompu
de Juifs le visitait ou s’y rendait pour y vivre et surtout y mourir.
D’autres y vécurent sans interruption depuis la destruction du
temple jusqu’à nos jours, notamment dans le village de Pékiin.
En 1517, Eretz Israël passa sous la coupe des Turcs ottomans, occupation
qui dura exactement 400 ans, autant que le séjour des Israélites
en Egypte. Au XIXe siècle, le pays fut redécouvert
par l’Occident, de nombreux voyageurs en firent une description saisissante.
Tous les témoignages concordaient absolument pour décrire
la désolation du pays réduit à l’état de
désert par des siècles d’incurie. On notait le petit nombre
d’habitants, mais aussi le fait qu’à cette époque, Jérusalem
était une ville en majorité juive. Eretz Israël commença
à reprendre vie avec l’arrivée des pionniers Juifs, attirant
ainsi, par sa prospérité retrouvée, les Arabes
venus des pays voisins. Ce fut surtout le cas entre les deux guerres
mondiales sous le mandat britannique.
La "Palestine" était-elle
un "pays fertile" ?
Ces faits historiquement
indiscutables s’opposent aux affirmations de la propagande arabe, selon
lesquelles l’arrivée des Juifs déplaça des millions
d’Arabes qui y vivaient depuis des milliers d’années dans un
pays fertile. C’est ainsi qu’on changea l’agresseur en victime. Les
guerres du Moyen-Orient furent toutes attribuées à Israël,
on oubliait simplement de dire qu’Israël fut agressé et
que des centaines de milliers de Juifs furent chassés des pays
arabes. C’était là la technique de Goebbels selon laquelle
un mensonge, mille et mille fois répété, finit
par devenir une vérité. Pour Arafat, " ces paisibles
Arabes vivant en Palestine depuis des siècles, étaient
les descendants des Cananéens et des Philistins. " En effet,
le peuple palestinien n’a ni histoire propre, ni culture, ni langue,
car il n’est constitué que d’Arabes. Qu’à cela ne tienne,
nombre de gens s’emploient à leur en fabriquer de toutes pièces.
On oublie qu’avant 1943 un Arabe, Moussa Alaoui, a affirmé que
les Arabes avaient besoin d’un mythe qui créerait leur identité
et leur redonnerait leur fierté. On a créé ce mythe.
Il fallut 20 ans pour arriver à ce but.
Selon d’autres penseurs
arabes, c’était une manière de mener la guerre sainte,
le Djihad. Dès lors qu’on rattache les Palestiniens aux Cananéens
ou aux Philistins, il est facile de présenter Israël comme
un peuple d’usurpateurs dès les temps anciens et cela jusqu’à
nos jours, et les Palestiniens comme des éternels victimes. Or,
les Philistins étaient des non sémites venus d’Europe,
par les îles de la mer Egée au XIIe siècle
avant Jésus-Christ, c’est-à-dire peu après les
Israélites.
Arafat, qui se prétend
(faussement) né à Jérusalem, déclare ainsi
qu’il est un descendant des Jébusiens qui ont toujours vécu
à Jérusalem et que ses racines à Jérusalem
remontent à des millénaires, donc que ses droits sur Jérusalem
sont plus anciens que ceux des Juifs. Or, dans le même souffle,
Arafat déclare descendre des peuples Arabes. Les Arabes sont
des sémites, tandis que les Jébusiens ne l’étaient
pas. Comment peut-on à la fois être une chose et son contraire ?
Ainsi Arafat a déclaré : "Des peuples arabes sont
engagés dans la culture des peuples voisins." Dix-neuf ans
d’occupation jordanienne, au cours de laquelle cinquante-huit synagogues
ont été détruites à Jérusalem, montrent
comment les arabes se sont engagés dans la culture des peuples
voisins. En 538, quand les Arabes sont arrivés en Israël,
ils étaient peu nombreux. La plupart d’entre eux furent rapidement
décimés par des épidémies. Il fallut faire
venir d’autres musulmans pour les remplacer, lesquels connurent le même
sort. Au long des siècles vinrent s’établir dans le pays
des Grecs, des Kurdes, des Syriens, des Latins, des Egyptiens, des Arméniens,
des Russes, des Afghans, des Libanais, des Bosniaques, des Soudanais,
des Tartares et même des Hongrois. En fait, une cinquantaine d’ethnies
différentes sont à l’origine des "Palestiniens." Dès
lors, on réalise ce que valait l’affirmation d’Arafat selon laquelle
ces Palestiniens ont habité le pays depuis des siècles.
Une histoire fabriquée
de toutes pièces
Des expressions reprises
dans la presse mondiale ont aussi pour but de délégitimer
la Bible, ainsi les expressions "rive occidentale" ou "territoire,"
remplacent l’expression biblique "Judée-Samarie." Selon Haman
Ashrawi, la Judée-Samarie n’existe pas. Or, la Bible cite quarante-cinq
fois la Judée et douze fois la Samarie. Le livre des actes déclare :
"Vous serez mes témoins à Jérusalem, en Judée,
en Samarie." Mathieu 2:20-21 déclare que Jésus revint
d’Egypte dans le pays d’Israël et non en Palestine. En fait, c’est
le Roi Abdallah de Transjordanie, grand père de l’actuel roi
Hussein, qui changea le nom de Judée-Samarie en rive occidentale.
Selon Haman Ashrawi, il y a une présence arabe ininterrompue
de 3500 ans. Pour elle aussi, Jésus était un Palestinien
qui a défié Rome et elle vilipende les Juifs qui ont tué
Jésus, "le prophète palestinien." Un théologien
arabe chrétien, le Docteur G. Coury a écrit dans un ouvrage
intitulé L’Intifada du ciel et de la terre que l’intifada
était une chose glorieuse. Or il faut savoir que l’ONU a accordé
le statut de réfugié à tout Arabe qui avait résidé
en Israël deux ans avant 1948. Pourquoi ? Tout simplement
parce que la plupart des Palestiniens sont arrivés dans le pays
dans les dernières années du mandat britannique. Malgré
tout, Arafat, en 1974, dans son célèbre discours à
l’ONU, a déclaré : "L’invasion Juive a commencé
en 1881. La Palestine était un pays fertile, verdoyant, habité
surtout par le peuple arabe en train de construire sa vie et enrichissant
de façon dynamique la culture indigène." N’importe
quel lecteur peut se procurer dans n’importe quelle librairie L’itinéraire
de Paris à Jérusalem de Chateaubriand, La Jérusalem
de Pierre Loti, Le voyage en Orient de Lamartine, pour ne citer
que ceux-là, et voir comment, à cette époque, la
Palestine était un pays verdoyant et comment la population arabe
contribuait à la vie et à l’enrichissement des populations
indigènes ! En 1889, un autre visiteur écrivait :
"Trente mille des quarante mille habitants de Jérusalem sont
Juifs et sur les 10 000 restants, bon nombre sont des chrétiens.
Sur la plaine côtière il n’y a que quatre vingt douze mille
habitants dont trente huit mille sont des chrétiens." En
fait, sauf durant un siècle, jamais les Arabes n’ont été
la majorité dans le pays. Quand l’arrivée des colons juifs
a produit la culture la plus avancée que le désert ait
connue depuis l’époque romaine, après des siècles
de négligence et de désolation, ce développement
a attiré de milliers d’Arabes.
Les racines juives en Israël
Pour certains Arabes chrétiens :
"Des chrétiens qui croient que les Juifs ont un droit biblique
et historique sur la terre d’Israël sont des infidèles,
des incroyants, des hérétiques, qui renient le Christ."
De son coté Faiçal Husseini (qui prétend descendre
de Saladin bien que ce dernier ait été Kurde et non Arabe)
a créé "The Palestine academic society for the studies
of international affairs." Il distribue aux journalistes et aux politiciens
un document où l’on peut lire, sous la rubrique "Le pays, son
peuple et son histoire," ceci : "Au milieu du IIIe
millénaire, 3000 ans après une vague de sécheresse
et de dessiccation qui a formé la péninsule arabique,
les Cananéens, tribu sémite, sont venus s’établir
depuis l’Arabie dans les territoires situés à l’Est de
la Méditerranée qui sont la Syrie, le Liban, la Jordanie
et la Palestine moderne." Or les Cananéens, selon la Bible,
ne sont pas des sémites, mais des descendants de Cham, et nulle
part il n’y a trace d’une migration de tribus venues de la péninsule
arabique vers l’Est de la Méditerranée. Puis il ajoute :
"Vers 4000 avant Jésus-Christ, les Jébusiens, sous-groupe
cananéen, fondèrent Jérusalem." Les Jébusiens
sont donc venus 1000 ans avant les Cananéens. On le voit, Faiçal
Husseini n’est pas à une contradiction près ! Voyons
la suite, il continue : "Vers 1900 avant Jésus-Christ,
Ibrahim (Abraham) s’établit quelque part dans la vallée
du Jourdain." Ce qui est contraire à la Bible car, à
l’inverse de Lot, Abraham s’établit dans les montagnes et non
dans la vallée du Jourdain. "Vers le XIVe siècle,
les douze fils de Jacob, Israël, s’enfuirent d’Egypte où
ils se sont établis pendant 500 ans." En fait, la manière
dont Faiçal Husseini explique le départ d’Israël
sous Moïse laisse entendre que ce départ a eu lieu 60 ans
après leur arrivée dans le pays dans lequel ils sont censés,
un peu plus haut, être restés 500 ans. Plus loin, on lit :
"Vers 330 avant Jésus-Christ, le rapport entre Juifs et Jérusalem
et le temple fut définitivement coupé. Puis la Palestine
devint une partie de l’empire byzantin et de la culture hellénistique
mais même ainsi la vie arabe n’a jamais été dissociée
du pays ni de Jérusalem. Au VIIe siècle après
Jésus-Christ, la Palestine et le reste de la Syrie sortirent
de la domination romaine et entra dans la sphère de l’empire
arabo-islamique." Faiçal Husseini se garde bien d’évoquer
les massacres des Juifs et des chrétiens lors de la conquête
arabe.
Des universitaires mentent délibérément !
De nombreux auteurs ont
avalisé ces différents mensonges. Des centaines de dictionnaires,
encyclopédies, livres d’histoire sont falsifiés. Par exemple
la Random House Encyclopedia qui écrit : "Le pays
s’appelait autrefois Canaan, puis Israël, puis Palestine."
Nombreux sont les textes qui évoquent le fait que lors de la
Guerre des Six Jours, Israël s’empara "de terres arabes" sans aucunement
mentionner les provocations et menaces dont Israël fut l’objet
de la part de ses voisins arabes. Or, on sait que ces articles ont souvent
été rédigés par des Arabes. La Nouvelle
Encyclopédie britannique écrit ainsi sans sourciller :
"Les Palestiniens sont les descendants des peuples de Canaan,"
et 3000 ans d’histoire juive sont ainsi passés sous silence.
D’autres font partir l’histoire du pays avec la conquête arabe
au VIIe siècle après Jésus-Christ. C’est
plus simple et cela évite des mensonges trop gênants. D’autres
ouvrages mentionnent que les guerres israélo-arabes ont eu pour
résultat la perte de l’Etat de Palestine. Or il n’y a jamais
eu d’Etat de Palestine. L’American Heritage Dictionnary déclare :
"Une ville de Jordanie occupée par Israël à 4
km au sud de Jérusalem est le village palestinien des temps bibliques
où a vécu David et où est né Jésus,
il se nomme Bethléhem." Le nom Jordanie n’a été
utilisé qu’après 1948 par le grand-père de Hussein,
Abdallah, qui a annexé la Judée-Samarie à l’émirat
de Transjordanie créé de toutes pièces par les
Anglais en 1922.
En Juin 1992, le National
Geographic, prestigieuse revue américaine, publiait un article
intitulé "Qui sont les Palestiniens ?" Elle répondait
à cette question en déclarant que ces derniers descendaient
des Cananéens et que les Juifs n’étaient qu’une vague
d’envahisseurs qui les avaient chassés. De nombreuses protestations
suivirent la publication de cet article. Les protestataires furent renvoyés
à un certain Philips Maltard qui appartenait en fait au journal
"Palestine Studies," dirigé par Isham Charadaq, ami et conseiller
d’Arafat. Les bibles chrétiennes elles-mêmes n’échappent
pas à cette démagogie anti-israélienne. Ainsi le
New King James publié par Thomas Nelson l’est par une maison
d’édition dont les propriétaires sont arabes et c’est
ainsi que l’on apprend, entre autre, que l’épouse du Cantique
des Cantiques n’est autre "qu’une jeune femme palestinienne." Ce genre
de publications est encouragé par l’ONU qui est un des plus grands
centres d’antisémitisme du monde. Dernièrement, Butros
Ghali, Secrétaire Général de l’ONU, déclarait :
"Les Juifs doivent renoncer au statut de nation et à un état
et s’assimiler dans la communauté du monde arabe, sinon l’alternative
sera une répétition de guerres." Quand, en 1974, Arafat,
devant l’ONU, revendiqua la souveraineté sur toute la Palestine,
personne n’a objecté. Ainsi la boucle est bouclée, c’est
à nouveau la Bible qui est au banc des accusés. On la
réécrit, on en réécrit l’histoire ou bien
il faut l’anathématiser. Il est donc essentiel de se lever pour
défendre la vérité biblique car celle-ci est un
tout. Accepter que l’histoire biblique soit contestée et réécrite,
c’est accepter la destruction de l’autorité biblique elle-même.
Il est temps de se lever et de tenir ferme pour la vérité.
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